Nous avons la chance d’avoir un grand espace chez nous. Nous profitons alors d’installer une zone de travail. Nounours a continué sa lecture du livre « Les bases du bondage »1 par Lord Morpheus et s’est intéressé aux attaches des mains. Révision des deux nouages précédemment vus et ajout du nœud pour lier les mains au dos.
Pour conclure, Pychoo a eu les mains liées et tendues vers le haut, les yeux bandés et les chevilles attachées à notre barre d’écartement2.
Nounours a installé une couverture sur le tapis du salon et m’a faite assoir dos à lui. Il teste une nouvelle façon de m’attacher les mains dans le dos en parallèle. Il prend son temps, mais j’apprécie et profite de ce moment. Une fois les liens faits, puis défaits, il me rattache les mains devant cette fois-ci, puis me bande les yeux et m’allonge au sol sur le dos. J’aime ne plus voir ce qu’il fait et ce qu’il utilise. Je ressens d’autant plus chaque gestes. Il lie l’autre bout de la corde à un crochet afin de me bloquer les bras en haut du corps et ajoute la barre d’écartement.
La session finie, Nounours me détache. Je tremble sous l’effet de l’adrénaline et observe les marques laissées par les cordes.
Pychoo
J’ai rencontré quelques difficultés à faire passer plusieurs fois la corde autour des mains de Pychoo, ainsi qu’au niveau de la force à appliquer pour serrer. Mais c’est avec la pratique que l’on s’améliore. Faire des nœuds pour ligoter une personne n’est pas « compliqué » en soit, mais si l’on souhaite un rendu esthétique (brins parallèles, sans croisement, position des nœuds), cela prend vite du temps lorsque l’on n’a pas l’habitude.
Nounours
Références
1 https://www.payot.ch/Detail/les_bases_du_bondage-lord_morpheous-9782363260802
2 https://www.kisskiss.ch/fr/liberator-talea-microfibre